Accueil > Publications > Auteurs > Robert Dumas : contributions à la revue Médium

Robert Dumas : contributions à la revue Médium

par Robert Dumas

Publié le : 25 juin 2021. Modifié le : 26 août 2024

Médium 60-61, « La mort et après », juillet-décembre 2019

Mort à Palerme

Il faut que tout change pour que rien ne change, selon le mot de Lampedusa. Il faut que tout meure pour que rien ne meure, traduit, en images, Visconti au cinéma.

Médium 50, « Littérature, chutes et rebonds », janvier-mars 2017

Laclos, le réactivé

Dans le domaine des sciences, Bachelard a démontré que les développements polémiques du rationalisme provoquent l’élimination de théories périmées, jugées fausses, non pertinentes, et au contraire l’élection de théories sanctifiées qui constituent le corps même de la science en acte.

Médium 49, « Quelle guerre ? Quelle Victoire ? », octobre-décembre 2016

Réduire au silence

Le vainqueur impose le silence au vaincu. À moins qu’il l’oblige à se confesser. Soumis au questionnaire l’écrivain Ernst Von Salomon riposte par l’ironie.

Médium 48, « Matières à penser » (pour François Dagognet), juillet-septembre 2016
Sous la direction de Robert Dumas en collaboration avec Robert Damien.

Un maître

Pour le médecin Dagognet, le premier de nos outils, le corps multiple et un, pourrait bien donner à la médiologie son fondement anthropologique.

Médium 46-47, « Éros aujourd’hui », janvier-juin 2016

En Harley-Davidson

Après l’escarpolette, la motocyclette : gros cube et tombeau ouvert.

Médium 44-45, « Demain l’école », juillet-décembre 2015

Camus, l’instituteur

L’école vécue par Camus : elle brisait la fatalité de la misère sociale, élevait la figure de l’instituteur, ouvrait le mystère des livres.

Médium 43, « Charlie et les autres », avril-juin 2015

Gloire au papier

Paradoxe. À l’heure du virtuel et des hackers, c’est un petit journal papier qui a subi la rage des terroristes.

Médium 42, « L’écrivain national », janvier-mars 2015

Victor Hugo

Genèse d’un roman national. Entre 1842 et 1843, un roman feuilleton, Les Mystères de Paris, connaît un succès populaire qui demeure pourtant incommensurable avec celui qui, vingt ans plus tard, accueille la parution des Misérables à Bruxelles. Certes, l’un est oublié dans les caisses des bouquinistes, alors que l’autre n’a cessé d’être réédité jusqu’à hier.

Médium 41, « Rythmes », octobre-décembre 2014

Il est temps de lire… Le tour du monde en 80 jours

Médium 40, juillet-septembre 2014

Épépé : histoire sans parole

Contemporain d’Imre Kertész, Ferenc Karinthy est né à Budapest en 1921. Traducteur de Molière et de Machiavel, il écrit essentiellement pour le théâtre. Outre Épépé, son roman publié en 1970 qui connut au moins cinq éditions françaises, très peu d’ouvrages sont disponibles dans notre langue. Il est mort à Budapest en 1992.

Médium 39, « Générations », avril-juin 2014

Oblomov de Gontcharov

Contre le mysticisme et le romantisme de l’âme slave, Ivan Alexandrovitch Gontcharov (1812-1891) invente le roman réaliste russe. Né, comme Lénine, sur les bords de la Volga, au sein d’une famille bourgeoise, il demeurera toute sa vie fonctionnaire. Son oeuvre romanesque culmine dans le chef d’oeuvre de 1859, Oblomov, qu’encadrent Une Histoire Ordinaire (1848), et Le Ravin (1869).

Médium 37-38. « Secrets à l’ère numérique », octobre 2013-mars 2014

L’Agent secret, de Joseph Conrad

Dans un Londres ténébreux à la fin du xixe siècle, un secrétaire d’ambassade incite un agent secret minable à accomplir un attentat symbolique (contre le mètre-étalon) pour pousser le gouvernement à réprimer les anarchistes réfugiés en Angleterre.

Médium 36, « L’esprit des lieux », juillet-septembre 2013

Broch : la condition du somnambule

Pourquoi lire Broch, cet écrivain sans postérité, né à Vienne en 1886 et mort en 1951, exilé aux États-Unis d’Amérique ? D’abord parce qu’il sut mettre en lumière l’homme comme être symbolique. Ensuite parce qu’il a abandonné le confort d’un milieu industriel pour se vouer à une littérature exigeante, capable d’explorer l’expérience métaphysique des hommes.

La Maison de la radio

par Robert Dumas et Daniel Bougnoux
Après avoir exploré le musée du Louvre, une école de campagne, la cage de Nénette au Jardin des Plantes, le cinéaste Nicolas Philibert s’en va vers la Maison de la radio. Ainsi se nomme le film, prétendant que le bâtiment et sa fameuse circularité en sont le véritable sujet ou objet.

Médium 15, avril-juin2008
Salut l’artiste

Bob Verschueren

À l’écart du gigantisme du Land-Art, dont l’appréciation nécessite souvent la photographie aérienne, Bob Verschueren se révèle un artiste modeste, un essayeur qui œuvre aux frontières : celles de la matière et de la forme, celles de l’esprit et du corps, celles de la nature et de la culture.

Médium 9, octobre-décembre 2006

Avignon 2006, un pas en avant, deux pas en arrière

Médium 6, janvier-mars 2006

On ne répare pas un marronnier

L’accélération technique tend à escamoter les rythmes immuables des cycles naturels, comme la fraîcheur des climatiseurs au-dedans, l’ombre des marronniers au-dehors. L’illusoire alignement du temps irréversible propre aux êtres vivants sur le temps toujours modulable des artefacts n’entre pas pour peu dans notre actuelle difficulté à transmettre.
Alain Rey médiologue,

Médium 5, octobre-décembre 2005

Avignon : la mort du texte

Médium 4, juillet-septembre 2005

Bonjour l’ancêtre

L’abbé Grégoire : révolutionnaire parce que prêtre

Médium 2, janvier-mars 2005

Vins de transmission, vins de communication

Médium 1, automne 2004
Symptômes

Avignon, la haine du texte


Envoyer un message à l'auteur : Contact